Oser remettre en cause!


Combien de fois avez-vous agis sans refléchir? Combien de fois avez vous fait des choses simplement parce que tout le monde le fait?
J' ai trouvé une histoire qui aborde un tel comportement et franchement j' étais decu de moi même après la lecture de ce conte sympa, aussi je veux la partager avec vous pour vous encourager à remettre les choses en cause pas pour le plaisir mais juste pour bien choisir sa position
Lisez plutôt

Un jour, par le bois primitif,
Un veau marche à la maison, comme tout bon veau se doit ;
Mais il laisse une traîne toute éparpillée et de travers,
Une traînée tordue comme tout bon veau se doit.

Depuis lors trois cents ans se sont écoulés,
Et, j'en déduis que le veau est mort.
Mais il laissait toujours sa traînée,
Et sur ce fait repose mon conte moral.

La traînée est reprise le jour suivant
Par un chien solitaire qui passait par là ;
Et puis un sage bélier
A suivi la traînée par-delà monts et vallées,,
Traînant le troupeau derrière lui, aussi,
Comme le font toujours les bons béliers.
Et depuis ce jour, au-delà de la colline et la clairière,
Par ces vieux bois un chemin a été frayé.

Et beaucoup d'hommes s'y blessent dedans et dehors,
Et esquivé, et tourné, et plié
Et des mots d'une juste colère y sont entendus
Puisqu'il y avait un chemin si tordu.
Mais toujours ils s'y aventurent, n'en riez pas.
Les premières migrations de ce veau,
dans ce sentier tortueux par le bois marchait de manière vacillan
Puisqu'il vacillait quand il marchait.

Ce chemin de forêt est devenu une ruelle,
Qui pliée et tournée tourne encore ;
Cette ruelle tordue est devenue une route,
Là où beaucoup plus d'un pauvre cheval avec sa charge
Travaillé fort sous le soleil brûlant,
Et parcouru environ trois milles dans un.
Et ainsi un siècle et une moitié
Ils ont marché sur les traces de ce veau.

Les années ont passé à toute vitesse,,
La route est devenue une rue de village ;
Et ceci, avant que les hommes se soient rendus compte,
La voie de communication achalandée d'une ville ;
Et bientôt la rue centrale était celle
D'une métropole renommée ;
Et les hommes de deux siècles et une moitié
Marchent sur les traces de ce veau.

Chaque jour cent mille déroutés
suivent le veau en zigzag;
Et par son chemin tordu circule
Le trafic d'un continent.
Cent mille hommes ont été guidés
Par un veau mort il y a près de trois siècles.
Ils suivaient toujours sa manière tordue,
Et perdaient cent ans par jour ;
Une telle vénération est accréditée
à un précédent bien établi.
Une leçon morale que ceci pourrait enseigner,
Si j'étais ordonné et ai appelé pour prêcher ;
Car les hommes sont enclins à marcher en aveugle
Le long des chemins des veaux de l'esprit,
Et à travailler de soleil en soleil
Pour faire ce que d'autres hommes ont fait.
Ils suivent dans le sentier battu,
Et dehors et dedans, et en avant et en arrière,

Et poursuivent toujours leur cours détourné,
Pour garder le chemin que d'autres ont tracé.
Ils gardent en chemin le sillon sacré,
Le long de ce que toutes leurs vies ils se déplacent.
Mais comme les anciens dieux des bois sages rient,
Qui ont vu le premier veau originel!
O ! Beaucoup de choses ce conte pourrait enseigner—
Mais je ne suis pas ordonné pour prêcher.
- SAM Walter Foss
et Noel? Pourquoi? on le fête en tant que tel? ....

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